« Concernant la matière, nous nous sommes trompés. Ce que nous avons appelé matière n’est que de l’énergie qui a ralenti sa vibration afin d’être perceptible par nos sens. La matière n’existe pas. ALBERT EINSTEIN. »
La petite plante
Un jour le Grand Jardinier me confia une plante d’une qualité très rare, et très belle ;
« Je reviendrai la chercher », dit-il en souriant ; « Soigne-la bien, en la gardant pour moi. »
J’en ai pris soin, et la plante a grandi ;
Elle a donné une fleur aux couleurs rayonnantes ;
Belle et fraîche, comme l’aurore au printemps ;
Mon âme était radieuse, mon bonheur sans égal.
De toutes mes fleurs, elle était la plus glorieuse ;
Son parfum, son aspect étaient merveilleux ;
J’aurais voulu la garder, tant mon cœur s’y était attaché ;
Pourtant, je savais qu’Il reviendrait la chercher.
Et voici, Il est venu un jour me demander la jolie plante qu’Il m’avait prêtée…
Je tremblais ! Mais c’est vrai qu’Il m’avait dit qu’un jour Il reviendrait pour me la réclamer.
« C’est parfait », dit-Il en respirant son parfum ;
Alors, en se penchant, Il a parlé doucement :
« Si elle reste dans ce sol, elle va perdre sa splendeur,
Je veux la transplanter dans mon jardin Là-haut. »
Avec tendresse, Il la prit et s’envola pour la planter Là-haut où les fleurs ne se fanent pas.
Et un jour futur, dans ce Jardin de Gloire, je la retrouverai épanouie, et elle sera mienne.
Auteur inconnu
Je t’aime Eva. Tu me manques terriblement comme à ceux qui viennent prendre le temps d’une pensée avec nous.
Tu m’as toujours dit d’avoir confiance, alors je continue, seconde après seconde, minute après minute, les heures, les jours, les mois…
Mon horloge a dû se détraquer. Sans doute à cause des allers retours dans le temps, ces souvenirs si présents et cette difficulté à se projeter dans un avenir sans toi. 03 mois.
Je te sais lumineuse et à nos côtés alors j’ai confiance malgré l’absence. Je resterai fidèle à tes idéaux qui sont devenus les miens.
Je reste attentif à chaque signe.
Ton « p’tit mari » qui t’aime.
Vivre et croire,
c’est aussi accepter que la vie contient la mort
et que la mort contient la vie.
C’est savoir, au plus profond de soi,
qu’en fait, rien ne meurt jamais.
Il n’y a pas de mort,
il n’y a que des métamorphoses.
Tu ne nous as pas quittés
Mais tu t’en es allée au pays de la Vie,
Là où les fleurs
Plus jamais ne se fanent,
Là où le temps
Ne sait plus rien de nous.
Ignorant les rides et les soirs,
Là où c’est toujours matin,
Là où c’est toujours serein.
Tu as quitté nos ombres,
Nos souffrances et nos peines.
Tu as pris de l’avance
Au pays de la Vie.
Je fleurirai mon cœur
En souvenir de toi,
Là où tu vis en moi,
Là où je vis pour toi.
Et je vivrai deux fois…
Par Père André Marie
Eva ressemble tellement à cette danseuse que je n’ai pas résisté à intégrer la vidéo suivante. J’espère qu’Eva viendra m’accorder cette danse dans mes plus beaux rêves. (Carré en bas à droite pour un plein écran):
Merci Antoine,pour ces poèmes de réconfort, 3 mois c’est si long et si court à la fois…..mais aujourd’hui je suis comme toi à la recherche d’un signe, car mon ange me manque terriblement. J’attends d’entendre à nouveau , coucou Christel c’est Eva….jamais je n’aurais pensé que ma sœur me manque autant, alors pour vous ce doit être un vrai supplice. Il y a des êtres qui laissent un trou béant dans nos vies…..
Eva..
Le temps qui passe est toujours trop court et celui qui nous sépare de toi trop long…
On remet au lendemain des choses que l’on se doit de faire tout de suite mais on devrait y faire attention car on rate de belles occasions d’échanger l’affection et l’amitié que l’on ressent pour celle qui est partie trop vite au pays du grand repos …Mais je suis certaine Eva que déjà ,tu apportes la sérénité autour de Toi là-haut …Merci Eva d’avoir été là pour nous et merci à Antoine de nous laisser lire ces beaux poèmes qu’il te dédie avec tant d’amour .
Les amoureux comme tu nous appelais pensent à toi Eva …à Antoine et aux enfants.
De Patrick et Katy